Derniers sujets
» Stefan Meier no.3par Pierrot Gourmand Aujourd'hui à 10:53
» Le vin tue ? Y m'a r'ssorti de bien des mauvaises passes. Père Pinard, Gontran'de justice.
par bamcar Aujourd'hui à 10:26
» C&D Speakeasy
par Lefty Aujourd'hui à 10:09
» PRESBYTERIAN - Presbyterian Mixture
par Lefty Aujourd'hui à 10:01
» Même en fumant du Presbyterian ce 27 mars, il faut l'admettre, l'Habib ne fait pas le moine.
par bamcar Aujourd'hui à 08:08
» Ma petite collection
par JOJ57 Aujourd'hui à 04:10
» Mort de rire — parce que j'ai le sens de l'humour !
par william1941 Aujourd'hui à 02:15
» 1792 flake de SG
par la hyène Hier à 23:56
» Garibaldi - Ernie Tobacco
par la hyène Hier à 23:53
» Solani 656 Aged Burley Flake
par papaalino Hier à 17:09
» C'est l'anniversaire d'Ernie !
par Kilt&Pipe Hier à 09:45
» Cyprus Black - Mullins & Westley (aka Segar & Snuff)
par Cénoman Hier à 06:26
» 26 mars, Sainte Lara. Catherine Lara, en visite au musée de Saint Claude, dû choisir un titre pour son succès. Ce fût la rockeuse de diamants.
par la chose Mar 26 Mar 2024, 23:48
» The-history-peterson-st-patricks-day
par Cénoman Mar 26 Mar 2024, 19:50
» GL Pease Navigator
par papaalino Mar 26 Mar 2024, 18:42
Qui est en ligne ?
Il y a en tout 114 utilisateurs en ligne :: 2 Enregistrés, 0 Invisible et 112 Invités Pierrot Gourmand, soababa
Le record du nombre d'utilisateurs en ligne est de 342 le Mar 05 Déc 2023, 20:22
Statistiques
Nous avons 2037 membres enregistrésL'utilisateur enregistré le plus récent est Bibifricotin
Nos membres ont posté un total de 440780 messages dans 16333 sujets
Robert Lewis - 123 Mixture
+2
Pierrot Gourmand
Munch
6 participants
Page 1 sur 1
Robert Lewis - 123 Mixture
Chers amis pipeux,
La France, terre d'accueil plurimillénaire excepté pour les tabacs, nous fit grâce d'accueillir en nos civettes non pas un, non pas deux, non pas trois mais quatre, oui quatre Robert Lewis !
Nous, on restera aux un deux trois (c'est pas moi qui décide).
En plus, apparemment maintenant c'est fini, on n'en trouve plus en France.
Ca s'en va, ça revient, ça vous glisse entre les mains, ça se trouve et ça se fume ça disparaît à tout jamais comme un tabac qu'on trouve en France.
Robert Lewis, maison fondée en 1787 ! Vous rendez-vous compte ? Moi non, j'vous le dit comme ça, je trouve ça frappadingue.
Bon, que nous réserve un tabac pré-révolutionnaire d'un oscur Gallois ?
Déjà, un nom nul. Le mélange 123, ça me fait plutôt penser à la recette des crêpes. Peu de promesses d'évasion, alors qu'il y a du cigare, là-dedans. J'en ai fumé, du tabac pour pipe avec des feuilles de cigare : il s'appellent Key Largo, Robusto... autant vous dire que question exotisme, on n'est pas dans de la recette de cuisine.
Ca part mal, même la boîte d'un orange mal prononcé ne me plaît pas - n'étant pas vraiment belle, est-elle faite pour moi ? - mais voyez-vous, il y a du latakia. Munch, qui est un gogo, est donc facilement attrapé par le piège grossier.
La boîte recèle un tabac excessivement odorant, dont l'agressivité vinaigrée procure un goût à froid très anglais qui rappelle l'haleine de Churchill à la grande époque (pour les copains qui n'étaient pas à Yalta, c'est pour cette raison qu'on l'avait mis tout au bout pour la photo).
J'ai d'abord eu quelques déceptions, car un bourrage trop léger ou une pipe trop large amaigrissaient tristement les saveurs du 123. Et le tabac, c'est comme les femmes : trop maigre, c'est pas confortable (disait ma mère-grand).
Mon expérience de ce tabac me fait dire qu'il faut bien le tasser et utiliser un fourneau normalement ou peu large, autrement il risque d'être partiellement amputé de son goût. Il se consume sans souci de toute façon, même en sortie de boîte.
A l'allumage, rien ne va plus. J'ai bien cherché à me concentrer pour déceler les goûts, apprécier les différentes composantes de ce tabac, rien n'y fait : il m'emporte, me séduit, me submerge dès que je cherche à mettre un mot sur un parfum de noix, de chocolat, de pain grillé, d'orange ou d'autre chose... et je savoure... Moi qui me plaignais du manque d'exotisme du nom de ce tabac, je suis servi en sensations de voyage !
Je m'excuse donc platement pour les amateurs du genre descriptif, je suis absolument incapable de lister les saveurs du 123 ou de dire s'il y a plus de tel ou tel type de tabac dedans. J'arrive pô. Pis c'est tout.
Ce que je peux dire, c'est que chaque bouffée s'exprime différemment et bouscule des impressions dans mon esprit, remue du tropisme, ma conscience s'élargit, j'ai plus de souvenirs que si j'avais mille ans, je suis tour à tour dans la forêt tropicale, je sue du sucre dans les champs de coton, je chante une poignante sérénade dans la nuit d'été andalouse au milieu des orangeraies, je dors sur le sable de géantes plages d'Amérique du Sud avec des shakiras en string autour...
En deux mots : luxuriant et charnel.
Bien tassé dans la bonne pipe, il a tout ce qu'il faut et tout ce qu'on attend d'un tabac parfait. Pour une fumée plus aérée et gentille, un tassage léger. Pour plus de virilité sans chichis, un bol large.
Le tabac de Munch par excellence.
La France, terre d'accueil plurimillénaire excepté pour les tabacs, nous fit grâce d'accueillir en nos civettes non pas un, non pas deux, non pas trois mais quatre, oui quatre Robert Lewis !
Nous, on restera aux un deux trois (c'est pas moi qui décide).
En plus, apparemment maintenant c'est fini, on n'en trouve plus en France.
Ca s'en va, ça revient, ça vous glisse entre les mains, ça se trouve et ça se fume ça disparaît à tout jamais comme un tabac qu'on trouve en France.
Robert Lewis, maison fondée en 1787 ! Vous rendez-vous compte ? Moi non, j'vous le dit comme ça, je trouve ça frappadingue.
Bon, que nous réserve un tabac pré-révolutionnaire d'un oscur Gallois ?
Déjà, un nom nul. Le mélange 123, ça me fait plutôt penser à la recette des crêpes. Peu de promesses d'évasion, alors qu'il y a du cigare, là-dedans. J'en ai fumé, du tabac pour pipe avec des feuilles de cigare : il s'appellent Key Largo, Robusto... autant vous dire que question exotisme, on n'est pas dans de la recette de cuisine.
Ca part mal, même la boîte d'un orange mal prononcé ne me plaît pas - n'étant pas vraiment belle, est-elle faite pour moi ? - mais voyez-vous, il y a du latakia. Munch, qui est un gogo, est donc facilement attrapé par le piège grossier.
La boîte recèle un tabac excessivement odorant, dont l'agressivité vinaigrée procure un goût à froid très anglais qui rappelle l'haleine de Churchill à la grande époque (pour les copains qui n'étaient pas à Yalta, c'est pour cette raison qu'on l'avait mis tout au bout pour la photo).
J'ai d'abord eu quelques déceptions, car un bourrage trop léger ou une pipe trop large amaigrissaient tristement les saveurs du 123. Et le tabac, c'est comme les femmes : trop maigre, c'est pas confortable (disait ma mère-grand).
Mon expérience de ce tabac me fait dire qu'il faut bien le tasser et utiliser un fourneau normalement ou peu large, autrement il risque d'être partiellement amputé de son goût. Il se consume sans souci de toute façon, même en sortie de boîte.
A l'allumage, rien ne va plus. J'ai bien cherché à me concentrer pour déceler les goûts, apprécier les différentes composantes de ce tabac, rien n'y fait : il m'emporte, me séduit, me submerge dès que je cherche à mettre un mot sur un parfum de noix, de chocolat, de pain grillé, d'orange ou d'autre chose... et je savoure... Moi qui me plaignais du manque d'exotisme du nom de ce tabac, je suis servi en sensations de voyage !
Je m'excuse donc platement pour les amateurs du genre descriptif, je suis absolument incapable de lister les saveurs du 123 ou de dire s'il y a plus de tel ou tel type de tabac dedans. J'arrive pô. Pis c'est tout.
Ce que je peux dire, c'est que chaque bouffée s'exprime différemment et bouscule des impressions dans mon esprit, remue du tropisme, ma conscience s'élargit, j'ai plus de souvenirs que si j'avais mille ans, je suis tour à tour dans la forêt tropicale, je sue du sucre dans les champs de coton, je chante une poignante sérénade dans la nuit d'été andalouse au milieu des orangeraies, je dors sur le sable de géantes plages d'Amérique du Sud avec des shakiras en string autour...
En deux mots : luxuriant et charnel.
Bien tassé dans la bonne pipe, il a tout ce qu'il faut et tout ce qu'on attend d'un tabac parfait. Pour une fumée plus aérée et gentille, un tassage léger. Pour plus de virilité sans chichis, un bol large.
Le tabac de Munch par excellence.
____________________________________________________________________________________________________________________________
Mais ce n'est que mon petit avis, et encore, j'suis bourré.
Munch- Clan des anglais
- Messages : 2857
Date d'inscription : 11/02/2014
Localisation : Toulouse
Re: Robert Lewis - 123 Mixture
Et bah
Lu comme ça ça donne grave envie.
Et on le trouve où désormais ?
Lu comme ça ça donne grave envie.
Et on le trouve où désormais ?
____________________________________________________________________________________________________________________________
Suzan hated literature, she'd much prefer to read a good book - Terry Practchett
Pierrot Gourmand- Monument
- Messages : 13797
Date d'inscription : 15/11/2016
Age : 42
Localisation : Troyes
Re: Robert Lewis - 123 Mixture
Ça donne envie dis donc !
Merci !
Apparemment dispo en Germaine, d'ailleurs c'est là qu'il est produit...
Merci !
Apparemment dispo en Germaine, d'ailleurs c'est là qu'il est produit...
____________________________________________________________________________________________________________________________
PetuneurBreton
Bonnes Volutes à tous
PetuneurBreton- Notable
- Messages : 3476
Date d'inscription : 09/08/2018
Age : 58
Localisation : Brocéliande
Re: Robert Lewis - 123 Mixture
Pas encore réussi à la trouver, tu nous mets l'eau à la bouche Munch.
En plus il a une composition qui rappelle certains HU
En plus il a une composition qui rappelle certains HU
Brase d'Anjou- Vieux de la vieille
- Messages : 5458
Date d'inscription : 22/05/2020
Age : 58
Localisation : Campagne angevine à l'ouest d'Angers
Re: Robert Lewis - 123 Mixture
Binmerdalors, j'avais raté cette revue d'un de mes tabacs préférés, heureusement que j'ai eu une seconde chance au tirage.
Je suis justement en train de fumer le fond de mon avant dernière boite de 123... Belle entrée en matière que tu nous as concocté là, Munch.
Je lui trouve bien des qualités à ce 123, malgré son nom banal et son étiquette quelconque. Le mélange est subtile, bien plus que pour les autres tabacs à pipe contenant des feuille de cigare, qui sont plus brutaux.
Lorsque j'étais étudiant et que j'étais plus souvent fourré à Londres qu'à la fac, il m'arrivait de pousser la porte de la boutique de la rue St James pour y acheter du tabac maison, qui ne se vendait alors que dans ce magasin.
On pouvait même poser son séant dans un vieux fauteuil club passablement défraîchi, qui avait accueilli d'autres séants passablement plus illustres que le mien, dont celui d'un certain Winston Churchill, qui était un habitué de la maison.
Bref, les tabacs Robert Lewis sont hautement fréquentables, j'apprécie aussi beaucoup leur Orcilla, qui me fait toujours penser aux encens qui faisaient ma seule joie lorsque j'étais enfant de choeur, avec le vin de messe les rares fois où j'arrivais à en siffler un peu en loucedé...
Je suis justement en train de fumer le fond de mon avant dernière boite de 123... Belle entrée en matière que tu nous as concocté là, Munch.
Je lui trouve bien des qualités à ce 123, malgré son nom banal et son étiquette quelconque. Le mélange est subtile, bien plus que pour les autres tabacs à pipe contenant des feuille de cigare, qui sont plus brutaux.
Lorsque j'étais étudiant et que j'étais plus souvent fourré à Londres qu'à la fac, il m'arrivait de pousser la porte de la boutique de la rue St James pour y acheter du tabac maison, qui ne se vendait alors que dans ce magasin.
On pouvait même poser son séant dans un vieux fauteuil club passablement défraîchi, qui avait accueilli d'autres séants passablement plus illustres que le mien, dont celui d'un certain Winston Churchill, qui était un habitué de la maison.
Bref, les tabacs Robert Lewis sont hautement fréquentables, j'apprécie aussi beaucoup leur Orcilla, qui me fait toujours penser aux encens qui faisaient ma seule joie lorsque j'étais enfant de choeur, avec le vin de messe les rares fois où j'arrivais à en siffler un peu en loucedé...
____________________________________________________________________________________________________________________________
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
"Petit fumeur mais grand collectionneur. Nostalgique inconsolable de l'ancien Balkan Sobrani Smoking Mixture des années 70"
Monsieur De Mesmaeker- La bande des joyeux loufoques
- Messages : 4253
Date d'inscription : 08/05/2019
Localisation : Touraine
Re: Robert Lewis - 123 Mixture
Le tabac, je ne sais pas, mais le CR, quel pied!Munch a écrit:Chers amis pipeux,
La France, terre d'accueil plurimillénaire excepté pour les tabacs, nous fit grâce d'accueillir en nos civettes non pas un, non pas deux, non pas trois mais quatre, oui quatre Robert Lewis !
Nous, on restera aux un deux trois (c'est pas moi qui décide).
En plus, apparemment maintenant c'est fini, on n'en trouve plus en France.
Ca s'en va, ça revient, ça vous glisse entre les mains, ça se trouve et ça se fume ça disparaît à tout jamais comme un tabac qu'on trouve en France.
Robert Lewis, maison fondée en 1787 ! Vous rendez-vous compte ? Moi non, j'vous le dit comme ça, je trouve ça frappadingue.
Bon, que nous réserve un tabac pré-révolutionnaire d'un oscur Gallois ?
Déjà, un nom nul. Le mélange 123, ça me fait plutôt penser à la recette des crêpes. Peu de promesses d'évasion, alors qu'il y a du cigare, là-dedans. J'en ai fumé, du tabac pour pipe avec des feuilles de cigare : il s'appellent Key Largo, Robusto... autant vous dire que question exotisme, on n'est pas dans de la recette de cuisine.
Ca part mal, même la boîte d'un orange mal prononcé ne me plaît pas - n'étant pas vraiment belle, est-elle faite pour moi ? - mais voyez-vous, il y a du latakia. Munch, qui est un gogo, est donc facilement attrapé par le piège grossier.
La boîte recèle un tabac excessivement odorant, dont l'agressivité vinaigrée procure un goût à froid très anglais qui rappelle l'haleine de Churchill à la grande époque (pour les copains qui n'étaient pas à Yalta, c'est pour cette raison qu'on l'avait mis tout au bout pour la photo).
J'ai d'abord eu quelques déceptions, car un bourrage trop léger ou une pipe trop large amaigrissaient tristement les saveurs du 123. Et le tabac, c'est comme les femmes : trop maigre, c'est pas confortable (disait ma mère-grand).
Mon expérience de ce tabac me fait dire qu'il faut bien le tasser et utiliser un fourneau normalement ou peu large, autrement il risque d'être partiellement amputé de son goût. Il se consume sans souci de toute façon, même en sortie de boîte.
A l'allumage, rien ne va plus. J'ai bien cherché à me concentrer pour déceler les goûts, apprécier les différentes composantes de ce tabac, rien n'y fait : il m'emporte, me séduit, me submerge dès que je cherche à mettre un mot sur un parfum de noix, de chocolat, de pain grillé, d'orange ou d'autre chose... et je savoure... Moi qui me plaignais du manque d'exotisme du nom de ce tabac, je suis servi en sensations de voyage !
Je m'excuse donc platement pour les amateurs du genre descriptif, je suis absolument incapable de lister les saveurs du 123 ou de dire s'il y a plus de tel ou tel type de tabac dedans. J'arrive pô. Pis c'est tout.
Ce que je peux dire, c'est que chaque bouffée s'exprime différemment et bouscule des impressions dans mon esprit, remue du tropisme, ma conscience s'élargit, j'ai plus de souvenirs que si j'avais mille ans, je suis tour à tour dans la forêt tropicale, je sue du sucre dans les champs de coton, je chante une poignante sérénade dans la nuit d'été andalouse au milieu des orangeraies, je dors sur le sable de géantes plages d'Amérique du Sud avec des shakiras en string autour...
En deux mots : luxuriant et charnel.
Bien tassé dans la bonne pipe, il a tout ce qu'il faut et tout ce qu'on attend d'un tabac parfait. Pour une fumée plus aérée et gentille, un tassage léger. Pour plus de virilité sans chichis, un bol large.
Le tabac de Munch par excellence.
Bravo!
william1941- Poète, barde, troubadour...
- Messages : 5612
Date d'inscription : 03/04/2020
Age : 83
Localisation : Garrigue et méditerranée. studio à Paris
Re: Robert Lewis - 123 Mixture
Aaah, je suis ravi de constater que Mesmaeker aime beaucoup ce tabac - j'aurais adoré venir acheter ce tabac sur place.
Je ne relève pas - en général - les éloges, mais il me faut dire que venant de ta part c'est extrêmement flatteur !
J'en rougirais, si mes pommettes étaient traîtres.
william1941 a écrit:
Le tabac, je ne sais pas, mais le CR, quel pied!
Bravo!
Je ne relève pas - en général - les éloges, mais il me faut dire que venant de ta part c'est extrêmement flatteur !
J'en rougirais, si mes pommettes étaient traîtres.
____________________________________________________________________________________________________________________________
Mais ce n'est que mon petit avis, et encore, j'suis bourré.
Munch- Clan des anglais
- Messages : 2857
Date d'inscription : 11/02/2014
Localisation : Toulouse
Brase d'Anjou- Vieux de la vieille
- Messages : 5458
Date d'inscription : 22/05/2020
Age : 58
Localisation : Campagne angevine à l'ouest d'Angers
william1941- Poète, barde, troubadour...
- Messages : 5612
Date d'inscription : 03/04/2020
Age : 83
Localisation : Garrigue et méditerranée. studio à Paris
Re: Robert Lewis - 123 Mixture
Munch a écrit:Aaah, je suis ravi de constater que Mesmaeker aime beaucoup ce tabac - j'aurais adoré venir acheter ce tabac sur place.
La boutique existe toujours, rachetée par Fox, le fauteuil sans doute aussi...
Brase d'Anjou a écrit:C'est décidé, demain je pars à la recherche du Graal !
Le 123 n'est le graal à mes yeux, à mes papilles non plus, d'ailleurs, mais il se fume fort bien. Pour moi, le graal serait plutôt le Balkan Sobranie, tel qu'il est (rarement) refabriqué par Germain...
____________________________________________________________________________________________________________________________
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
"Petit fumeur mais grand collectionneur. Nostalgique inconsolable de l'ancien Balkan Sobrani Smoking Mixture des années 70"
Monsieur De Mesmaeker- La bande des joyeux loufoques
- Messages : 4253
Date d'inscription : 08/05/2019
Localisation : Touraine
Sujets similaires
» ROBERT LEWIS - Orcilla Mixture
» Tabacs Robert Lewis
» Prix du tabac à pipe
» Robert
» ROBERT MC CONNELL Latakia Flake [DE]
» Tabacs Robert Lewis
» Prix du tabac à pipe
» Robert
» ROBERT MC CONNELL Latakia Flake [DE]
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum