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Le piège 47 L'illustration est de Brase d'anjou
2 participants
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Le piège 47 L'illustration est de Brase d'anjou
Chapelier cherche dans la pile le rapport de Grindier
Effectivement, elle mentionne qu’elle a lancé des demandes d’informations sur les familles des victimes
Il se prépare à appeler la Directrice quand on lui apporte une enveloppe.
Elle contient les fadettes demandées par Lambert.
Ils ont fait vite pour une fois murmure Chapelier.
Du coup il décide de vérifier la concordance avec les copies remises par la DGSI.
Au premier regard il n’y a qu’une différence : La date de début :
Celles demandées par Lambert pour Kleber commencent effectivement quinze jours plus tôt.
Ce qui est curieux, c’est qu’il y a des appels alors que la victime était déjà morte.
Enfin théoriquement
Il faudra regarder ligne par ligne.
Et demander la localisation pour cette période
Et une idée lui traverse l’esprit : Les victimes n’avaient-elles qu’un seul téléphone ?
Il faudra voir avec les perquisitions s’il y a des traces d’autres cellulaires où d’un fixe via internet par exemple.
Et cette histoire d’écoute avec du câblage… c’est bizarre.
On ne câble plus aujourd’hui…Sauf si l’on craint d’être piraté.
Et comme on a affaire à la DGSI… et qu’ils savaient qu’on enquêterait et qu’on perquisitionnerait les domiciles des victimes, ils ont peut-être imaginé un piège à cons pour nous promener.
Il reste songeur un moment puis décide de lire les rapports de ses inspecteurs.
Sa pipe est éteinte et froide.
Il est temps d’en préparer une autre.
Il la vide soigneusement. La nettoie méticuleusement et la garnit à nouveau.
Quelques bouffées-plaisir et il entreprend cette lecture toujours un peu fastidieuse, mais dont il vient de voir qu’elle pouvait lui apporter des informations importantes.
Ses inspecteurs prennent les initiatives que leur dicte leur expérience et ne lui en donnent pas toujours l’information sur le champ.
En général ils font ce qu’il faut pour que l’enquête progresse.
Il ne peut pas leur reprocher de ne pas toujours l’avertir avant de procéder à des démarches de routine dont ils savent à l’avance qu’il les approuvera.
D’autant qu’habituellement ce sont Grindier ou Lambert qui dirigent les enquêtes.
Lui se contente de suivre et de superviser leur travail.
Là, il a décidé de diriger l’enquête lui-même. Mais certains réflexes continuent à fonctionner.
Il se plonge dans la lecture des rapports avec stylo et feuille de papier pour noter les points importants.
Il commence par celui de Lambert et Grindier concernant la perquisition de l’appartement de Déprisieux.
Effectivement, elle mentionne qu’elle a lancé des demandes d’informations sur les familles des victimes
Il se prépare à appeler la Directrice quand on lui apporte une enveloppe.
Elle contient les fadettes demandées par Lambert.
Ils ont fait vite pour une fois murmure Chapelier.
Du coup il décide de vérifier la concordance avec les copies remises par la DGSI.
Au premier regard il n’y a qu’une différence : La date de début :
Celles demandées par Lambert pour Kleber commencent effectivement quinze jours plus tôt.
Ce qui est curieux, c’est qu’il y a des appels alors que la victime était déjà morte.
Enfin théoriquement
Il faudra regarder ligne par ligne.
Et demander la localisation pour cette période
Et une idée lui traverse l’esprit : Les victimes n’avaient-elles qu’un seul téléphone ?
Il faudra voir avec les perquisitions s’il y a des traces d’autres cellulaires où d’un fixe via internet par exemple.
Et cette histoire d’écoute avec du câblage… c’est bizarre.
On ne câble plus aujourd’hui…Sauf si l’on craint d’être piraté.
Et comme on a affaire à la DGSI… et qu’ils savaient qu’on enquêterait et qu’on perquisitionnerait les domiciles des victimes, ils ont peut-être imaginé un piège à cons pour nous promener.
Il reste songeur un moment puis décide de lire les rapports de ses inspecteurs.
Sa pipe est éteinte et froide.
Il est temps d’en préparer une autre.
Il la vide soigneusement. La nettoie méticuleusement et la garnit à nouveau.
Quelques bouffées-plaisir et il entreprend cette lecture toujours un peu fastidieuse, mais dont il vient de voir qu’elle pouvait lui apporter des informations importantes.
Ses inspecteurs prennent les initiatives que leur dicte leur expérience et ne lui en donnent pas toujours l’information sur le champ.
En général ils font ce qu’il faut pour que l’enquête progresse.
Il ne peut pas leur reprocher de ne pas toujours l’avertir avant de procéder à des démarches de routine dont ils savent à l’avance qu’il les approuvera.
D’autant qu’habituellement ce sont Grindier ou Lambert qui dirigent les enquêtes.
Lui se contente de suivre et de superviser leur travail.
Là, il a décidé de diriger l’enquête lui-même. Mais certains réflexes continuent à fonctionner.
Il se plonge dans la lecture des rapports avec stylo et feuille de papier pour noter les points importants.
Il commence par celui de Lambert et Grindier concernant la perquisition de l’appartement de Déprisieux.
Dernière édition par william1941 le Mer 18 Jan 2023 - 0:42, édité 1 fois
william1941- Poète, barde, troubadour...
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Age : 83
Localisation : Garrigue et méditerranée. studio à Paris
Brase d'Anjou- Vieux de la vieille
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william1941- Poète, barde, troubadour...
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