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Le piège 54 L'illustrationest de Brase d'Anjou.
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Le piège 54 L'illustrationest de Brase d'Anjou.
Dès qu’ils sont sortis de son bureau, il attrape sa pipe.
Eteinte.
Il la rallume et se replonge dans ses réflexions.
De temps en temps, il rajoute quelques mots sur la feuille devant lui.
Un coup d’œil à sa montre.
Dix heures quinze.
Il décroche son cellulaire.
« Louis ?
- Et qui veux-tu que ce soit ? Le Pape
- Arrête un peu de vanner et écoute-moi.
La Directrice et moi nous sommes convoqués à Beauvau cet après-midi à quatorze heures.
- On dirait que vous avec décroché la timbale.
- Je n’ai parlé de toi à personne.
- Ça j’en étais sûr. Mais de toute façon je n’ai rien fait d’irrégulier.
On ne m’a jamais demandé de me taire sur mes préliminaires et je n’ai fait aucun rapport.
J’ai juste donné des informations à un commissaire divisionnaire chargé d’enquêter sur la mort de deux personnes sur qui j’avais été appelé pour faire des visites préliminaires.
Et rien n’a été consigné puisque je n’ai pas fait les autopsies.
- D’accord Louis.
Je voulais quand même te tenir au courant.
- Merci. Amuse-toi bien !
- Salopard !
- A ton service. Tu me dois un resto. »
Il regarde à travers la baie de son bureau.
Autour de la grande table il voit son équipe au travail.
Une ruche dont il n’entend pas le bourdonnement, mais dont il sait qu’elle est efficace.
‘La meilleure de France’, se dit-il fièrement.
Brusquement il se lève et va à la porte de son bureau.
« Grindier ! venez !
Elle vient le rejoindre.
- Tu as fait des photos des coffrets à bijoux et de leurs contenus.t
- Comme pour tout le reste. Depuis qu’on a les appareils numériques et les smartphones on photographie tout.
- Apporte-moi les si elles sont imprimées.
- Pas encore patron.
- Envoie-les sur mon cellulaire.
- Tout de suite. »
En attendant les envois de Grindier, il sort les photos de Kleber de sa serviette et les pose sur son bureau.
Les vibrations de son téléphone l’avertissent que les clichés sont arrivés.
Il les ouvre un par un.
Il regarde les photos du corps de Kleber ‘ou de va savoir qui c’est’, se dit-il.
Ses yeux vont des photos aux clichés sur son cellulaire.
Il retourne à la porte de son bureau.
« Grindier !
Elle revient jusqu’à lui.
Tu as listé les contenus de coffret à bijoux ?
- Pas encore patron.
Mais on les a emportés. Les trousses de toilette aussi.
- Apporte-moi les coffrets. »
Elle revient une minute après avec les deux coffrets.
« Pose les sur mon bureau.
- Autre chose patron ?
- Non. Ah ! si, vous avez fait examiner la canne par la scientifique ?
- Patron…
- Excuse-moi. Le temps… Vas-y. »
Il prend les deux coffrets et sort les bijoux du premier.
Il les aligne un à côté de l’autre sur son bureau.
Il procède de même avec le deuxième en plaçant chaque objet identique au- dessous de celui du premier.
Quand il a terminé un sourire nait au coin sans pipe de sa bouche.
Eteinte.
Il la rallume et se replonge dans ses réflexions.
De temps en temps, il rajoute quelques mots sur la feuille devant lui.
Un coup d’œil à sa montre.
Dix heures quinze.
Il décroche son cellulaire.
« Louis ?
- Et qui veux-tu que ce soit ? Le Pape
- Arrête un peu de vanner et écoute-moi.
La Directrice et moi nous sommes convoqués à Beauvau cet après-midi à quatorze heures.
- On dirait que vous avec décroché la timbale.
- Je n’ai parlé de toi à personne.
- Ça j’en étais sûr. Mais de toute façon je n’ai rien fait d’irrégulier.
On ne m’a jamais demandé de me taire sur mes préliminaires et je n’ai fait aucun rapport.
J’ai juste donné des informations à un commissaire divisionnaire chargé d’enquêter sur la mort de deux personnes sur qui j’avais été appelé pour faire des visites préliminaires.
Et rien n’a été consigné puisque je n’ai pas fait les autopsies.
- D’accord Louis.
Je voulais quand même te tenir au courant.
- Merci. Amuse-toi bien !
- Salopard !
- A ton service. Tu me dois un resto. »
Il regarde à travers la baie de son bureau.
Autour de la grande table il voit son équipe au travail.
Une ruche dont il n’entend pas le bourdonnement, mais dont il sait qu’elle est efficace.
‘La meilleure de France’, se dit-il fièrement.
Brusquement il se lève et va à la porte de son bureau.
« Grindier ! venez !
Elle vient le rejoindre.
- Tu as fait des photos des coffrets à bijoux et de leurs contenus.t
- Comme pour tout le reste. Depuis qu’on a les appareils numériques et les smartphones on photographie tout.
- Apporte-moi les si elles sont imprimées.
- Pas encore patron.
- Envoie-les sur mon cellulaire.
- Tout de suite. »
En attendant les envois de Grindier, il sort les photos de Kleber de sa serviette et les pose sur son bureau.
Les vibrations de son téléphone l’avertissent que les clichés sont arrivés.
Il les ouvre un par un.
Il regarde les photos du corps de Kleber ‘ou de va savoir qui c’est’, se dit-il.
Ses yeux vont des photos aux clichés sur son cellulaire.
Il retourne à la porte de son bureau.
« Grindier !
Elle revient jusqu’à lui.
Tu as listé les contenus de coffret à bijoux ?
- Pas encore patron.
Mais on les a emportés. Les trousses de toilette aussi.
- Apporte-moi les coffrets. »
Elle revient une minute après avec les deux coffrets.
« Pose les sur mon bureau.
- Autre chose patron ?
- Non. Ah ! si, vous avez fait examiner la canne par la scientifique ?
- Patron…
- Excuse-moi. Le temps… Vas-y. »
Il prend les deux coffrets et sort les bijoux du premier.
Il les aligne un à côté de l’autre sur son bureau.
Il procède de même avec le deuxième en plaçant chaque objet identique au- dessous de celui du premier.
Quand il a terminé un sourire nait au coin sans pipe de sa bouche.
Dernière édition par william1941 le Jeu 2 Fév 2023 - 17:43, édité 1 fois
william1941- Poète, barde, troubadour...
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Age : 83
Localisation : Garrigue et méditerranée. studio à Paris
Brase d'Anjou- Vieux de la vieille
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william1941- Poète, barde, troubadour...
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