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Le piège 80 L'illustration est de Brase d'Anjou
3 participants
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Le piège 80 L'illustration est de Brase d'Anjou
Grindier arrive
« Tu étais où ?
- Je reprenais les fadettes.
Laurmier vient de m’appeler.
Il a terminé et demande ce qu’il doit faire.
- Rappelle-le et dis-lui de rentrer à la brigade.
Puis reviens ici.»
Grindier sort du bureau pour appeler Laurmier.
« Je vous écoute.
Donc comment cette affaire a commencé ?
(Son téléphone sonne)
« - …
(il sort du bureau)
- Ecoute, les choses se précipitent.
Ce serait trop long de te donner tous les détails maintenant.
Pour faire court, on est bien en plein dans une opération de la DGSI
De quelle nature ? Ce n’est pas clair.
J’ai avec moi Clémentine Kléber.
Je crois qu’il faudrait que tu l’entendes tout de suite avant de décider de la suite.
- …
- Je t’attends. »
« La Directrice viens dans quelques minutes.
Nous allons pouvoir tirer cette affaire au clair.
- Pourquoi n’appelez-vous pas le numéro que je vous ai donné ?
On gagnerait du temps.
- Je ne suis pas pressé.
La Directrice décidera de ce qu’elle voudra faire.
L’inspectrice principale Grindier va rester avec vous.
Si vous avez besoin de quoi que ce soit, n’hésitez pas à le lui demander.»
Il sort du bureau
« C’est moi.
Je monte à ton bureau.
Il faut que je te donne des informations avant que tu vois Madame Kléber »
« Qu’est-ce qu’il se passe ?
- Je te donne l’essentiel :
Clémentine Kléber est la sœur de Déprisieux.
Elle a épousé le frère de Marie-Hélène Kléber
Il est mort il y a cinq ans.
Elle a un ami. Tiens-toi bien, c’est Pierre Mazières.
- Mazières ? Celui de la DGSI ?
- Oui.
Voilà pour les personnages.
Pour l’affaire elle-même, je l’ai un peu secouée en la menaçant de la mettre en garde à vue.
Du coup elle a dit qu’elle allait me raconter toute l’histoire.
Elle voulait que j’appelle un numéro de téléphone pour dire qu’elle était retenue à la PJ.
J’ai refusé.
Tu verras ce que tu fais.
On a aussi cinq personnages qui ont embarqué à Etampes dans un avion de tourisme sous une fausse immatriculation de la gendarmerie – qui n’a que des hélico.
Je n’ai pas le temps de te donner les détails.
Je crois qu’il faut que tu entendes ce qu’elle a à dire.
Mon impression, c’est bien qu’on s’est servi de nous.
Mais je ne vois pas encore ni comment ? Ni surtout pourquoi ?
Tu as eu un retour de Beauvau ?
- Rien. On y va »
Ils arrivent à la porte du bureau de Chapelier.
La Directrice entre avant lui et s’adresse à Madame Kléber :
« Bonsoir Madame Kléber.
Je suis la Directrice générale de la Police Judiciaire.
Vous voulez bien venir avec nous. »
Sans un mot, Clémentine Kléber se lève, prend son sac de marin et sort du bureau.
« Venez, nous serons plus à l’aise dans mon bureau »
« Entrez, nous allons nous installer dans le coin salon.
Nous serons plus à l’aise.
(Chapelier suit la scène d’un regard matois.)
Je fais apporter des rafraichissements. »
Elle va à son bureau et active un interphone.
« Apportez-nous de l’eau et des sodas. Nous sommes trois »
(Elle revient vers eux et s’asseoit dans un fauteuil )
Asseyez-vous je vous en prie. »
On frappe à la porte de son bureau et une secrétaire entre avec un chariot sur lequel il y a des verres et un assortiment d’eau plate, d’eau gazeuses et de sodas francs et aromatisés.
« Servez-vous »
Chacun choisit sa boisson.
« Alors, le Commissaire Chapelier m’a informé que vous souhaitez nous donner des informations sur la disparition de votre frère et de votre belle-sœur.
Nous vous écoutons.»
Clémentine Kléber se frotte le visage de la main.
Elle est en proie à une intense réflexion.
La Directrice et Chapelier ne la quittent pas des yeux.
« Tu étais où ?
- Je reprenais les fadettes.
Laurmier vient de m’appeler.
Il a terminé et demande ce qu’il doit faire.
- Rappelle-le et dis-lui de rentrer à la brigade.
Puis reviens ici.»
Grindier sort du bureau pour appeler Laurmier.
« Je vous écoute.
Donc comment cette affaire a commencé ?
(Son téléphone sonne)
« - …
(il sort du bureau)
- Ecoute, les choses se précipitent.
Ce serait trop long de te donner tous les détails maintenant.
Pour faire court, on est bien en plein dans une opération de la DGSI
De quelle nature ? Ce n’est pas clair.
J’ai avec moi Clémentine Kléber.
Je crois qu’il faudrait que tu l’entendes tout de suite avant de décider de la suite.
- …
- Je t’attends. »
« La Directrice viens dans quelques minutes.
Nous allons pouvoir tirer cette affaire au clair.
- Pourquoi n’appelez-vous pas le numéro que je vous ai donné ?
On gagnerait du temps.
- Je ne suis pas pressé.
La Directrice décidera de ce qu’elle voudra faire.
L’inspectrice principale Grindier va rester avec vous.
Si vous avez besoin de quoi que ce soit, n’hésitez pas à le lui demander.»
Il sort du bureau
« C’est moi.
Je monte à ton bureau.
Il faut que je te donne des informations avant que tu vois Madame Kléber »
« Qu’est-ce qu’il se passe ?
- Je te donne l’essentiel :
Clémentine Kléber est la sœur de Déprisieux.
Elle a épousé le frère de Marie-Hélène Kléber
Il est mort il y a cinq ans.
Elle a un ami. Tiens-toi bien, c’est Pierre Mazières.
- Mazières ? Celui de la DGSI ?
- Oui.
Voilà pour les personnages.
Pour l’affaire elle-même, je l’ai un peu secouée en la menaçant de la mettre en garde à vue.
Du coup elle a dit qu’elle allait me raconter toute l’histoire.
Elle voulait que j’appelle un numéro de téléphone pour dire qu’elle était retenue à la PJ.
J’ai refusé.
Tu verras ce que tu fais.
On a aussi cinq personnages qui ont embarqué à Etampes dans un avion de tourisme sous une fausse immatriculation de la gendarmerie – qui n’a que des hélico.
Je n’ai pas le temps de te donner les détails.
Je crois qu’il faut que tu entendes ce qu’elle a à dire.
Mon impression, c’est bien qu’on s’est servi de nous.
Mais je ne vois pas encore ni comment ? Ni surtout pourquoi ?
Tu as eu un retour de Beauvau ?
- Rien. On y va »
Ils arrivent à la porte du bureau de Chapelier.
La Directrice entre avant lui et s’adresse à Madame Kléber :
« Bonsoir Madame Kléber.
Je suis la Directrice générale de la Police Judiciaire.
Vous voulez bien venir avec nous. »
Sans un mot, Clémentine Kléber se lève, prend son sac de marin et sort du bureau.
« Venez, nous serons plus à l’aise dans mon bureau »
« Entrez, nous allons nous installer dans le coin salon.
Nous serons plus à l’aise.
(Chapelier suit la scène d’un regard matois.)
Je fais apporter des rafraichissements. »
Elle va à son bureau et active un interphone.
« Apportez-nous de l’eau et des sodas. Nous sommes trois »
(Elle revient vers eux et s’asseoit dans un fauteuil )
Asseyez-vous je vous en prie. »
On frappe à la porte de son bureau et une secrétaire entre avec un chariot sur lequel il y a des verres et un assortiment d’eau plate, d’eau gazeuses et de sodas francs et aromatisés.
« Servez-vous »
Chacun choisit sa boisson.
« Alors, le Commissaire Chapelier m’a informé que vous souhaitez nous donner des informations sur la disparition de votre frère et de votre belle-sœur.
Nous vous écoutons.»
Clémentine Kléber se frotte le visage de la main.
Elle est en proie à une intense réflexion.
La Directrice et Chapelier ne la quittent pas des yeux.
Dernière édition par william1941 le Mar 4 Avr 2023 - 19:39, édité 1 fois
william1941- Poète, barde, troubadour...
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Localisation : Garrigue et méditerranée. studio à Paris
Brase d'Anjou- Vieux de la vieille
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Re: Le piège 80 L'illustration est de Brase d'Anjou
william1941 a écrit:La question est fait-elle où ne fait-elle pas un bras d'honneur?
Les femmes font rarement de bras d'honneur. Elles préfèrent le doigt
À moins que Clémentine soit l'exception qui confirme la règle en faisant une pause prolongée avant d'ajuster le sac sur son épaule. Dans ce cas, la Directrice na va pas apprécier.
La suite appartient à William...
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