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Un premier fils
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Un premier fils
C'est un petit texte que j'avais déjà proposé il y a quelque temps mais vu le peu
d'intérêt qu'il avait suscité je l'avais retiré pour le revoir un peu...
Traduit du néerlandais ancien, ce texte est extrait des chroniques de la principauté de Mosselbergen. Je me suis attaché surtout à en respecter le sens et l’esprit tout en utilisant les mots du vocabulaire d’aujourd’hui.
Un premier fils
Le onzième jour du quatrième mois de l’an de grâce 1075, le froid s’abattit sur Mosselburg comme l’aigle fond sur sa proie. Pourtant le matin même promettait le printemps qui s’annonçait radieux et chacun déjà en appréciait la douceur.
Vers la mi-journée, de sombres nuages vinrent déverser sur les collines plus de neige qu’en dix hivers. Il en tomba jusqu’à la fin du jour.
Alors le froid vint sceller le manteau blanc qui s’étalait sur toute la principauté. Le vent se réveilla pour bien vite devenir bise glacée et mordante. Il hurla dans les encoignures et chassa les nuages.
La nuit est venue : la lune pleine règne sans partage dans le ciel. Le froid devient palpable. Ruisseaux et rivières se couvrent de glace. Plus rien ne bouge, comme si neige et froidure avaient paralysé le pays. Mais… sont-ce vraiment les éléments qui font que tous restent dans les chaumières ? Ne serait-ce pas plutôt la peur ? Car voici que hurlent les loups dans les forêts toutes proches.
Personne ne bouge ! Personne ou presque…car la grosse Mathilda court, remuant sa graisse comme jamais, c’est à peine si ses pieds touchent le sol, elle vole dans le couloir qui la conduit vers ses maîtres.
Dans la grande salle du château, le prince Hugo, troisième du nom, seigneur des lieux, regarde, le sourire aux lèvres, son jeune frère Jan tourner en rond comme un fauve en cage.
« Calmez-vous donc ! L’astrologue n’a-t-il pas dit que tout se passerait bien ? N’a-t-il pas dit que vous auriez un fils ? Un fils dont le nom retentirait jusqu’en Orient ? Je me demande ce qu’il entend par là ? »
« Cet astrologue n’est qu’un vieux hibou et je me défie de lui comme de la peste ! »
Hugo sourit à nouveau ; il sait combien son cadet et le vieux sage se détestent mutuellement. Le prince de Mosselbergen tend les mains vers le feu vigoureux qui, pourtant, semble faire de la figuration tant la nuit est glacée.
« Holà, s’écrie-t-il, du bois, encore du bois ! Laisserez-vous votre souverain mourir de froid ? »
Aussitôt deux serviteurs accourent, les bras chargés de bûches. Satisfait, Hugo regarde encore son frère : « Vous reconnaîtrez cependant que le vieux hibou, comme vous dites, nous a bien annoncé que votre fils viendrait au monde par une froide nuit de pleine lune, au chant des loups. »
« Certes, le froid et les loups sont au rendez-vous… Mais m’apportent-ils bien un fils ? Dieu seul le sait ! »
« Allons, vous n’aimez pas notre astrologue et donc… »
Les mots lui restent dans la gorge, car l’entrée de Mathilda le laisse sans voix. L’énorme femme s’est précipitée vers eux comme une furie, puis essuyant sa face rougeaude avec son tablier, la sage-femme cherche à retrouver son souffle. Le sourire qui coupe en deux son visage bouffi devient grimace dans la douleur des poumons en feu. Sa gorge fait un bruit de soufflet de forge, tant sa respiration est hachée et saccadée. Enfin, entre trois expires rauques et deux inspires sifflants, elle trouve la force de jeter comme dans un cri de joie : « Un fils, Monseigneur, c’est un fils ! »
Jan explose d’allégresse : « Pour une fois le vieux hibou a vu juste ! Vous avez entendu mon frère ? C’est un fils. » Et, tel un fou, il quitte la pièce en courant.
« Le voilà soudain bien excité, dit le prince, à croire que c’est son premier enfant. »
« C’est son premier fils, mon maître ! » répond Mathilda qui petit à petit retrouve son calme.
Hugo ne dit rien. Il se dirige vers la plus grande des fenêtres et son regard se perd dans la nuit polaire qui frappe le pays tandis que, pour fêter l’événement, les loups hurlent de plus belle. « Voici une naissance dont on parlera encore dans bien des années ! Il fait froid, plus froid qu’aux pires journées de février, et ces loups ne cessent de chanter leurs lugubres complaintes. Par Dieu oui, nous nous souviendrons longtemps de la naissance de Berthylémus de Mosselburg ! » Il fait face à la salle et voit qu’il est seul, Mathilda s’en est allée. Le prince frissonne sous ses épaisses fourrures et crie : « Holà, du bois ! Encore du bois ! On gèle ici. »
Ric
d'intérêt qu'il avait suscité je l'avais retiré pour le revoir un peu...
Traduit du néerlandais ancien, ce texte est extrait des chroniques de la principauté de Mosselbergen. Je me suis attaché surtout à en respecter le sens et l’esprit tout en utilisant les mots du vocabulaire d’aujourd’hui.
Un premier fils
Le onzième jour du quatrième mois de l’an de grâce 1075, le froid s’abattit sur Mosselburg comme l’aigle fond sur sa proie. Pourtant le matin même promettait le printemps qui s’annonçait radieux et chacun déjà en appréciait la douceur.
Vers la mi-journée, de sombres nuages vinrent déverser sur les collines plus de neige qu’en dix hivers. Il en tomba jusqu’à la fin du jour.
Alors le froid vint sceller le manteau blanc qui s’étalait sur toute la principauté. Le vent se réveilla pour bien vite devenir bise glacée et mordante. Il hurla dans les encoignures et chassa les nuages.
La nuit est venue : la lune pleine règne sans partage dans le ciel. Le froid devient palpable. Ruisseaux et rivières se couvrent de glace. Plus rien ne bouge, comme si neige et froidure avaient paralysé le pays. Mais… sont-ce vraiment les éléments qui font que tous restent dans les chaumières ? Ne serait-ce pas plutôt la peur ? Car voici que hurlent les loups dans les forêts toutes proches.
Personne ne bouge ! Personne ou presque…car la grosse Mathilda court, remuant sa graisse comme jamais, c’est à peine si ses pieds touchent le sol, elle vole dans le couloir qui la conduit vers ses maîtres.
Dans la grande salle du château, le prince Hugo, troisième du nom, seigneur des lieux, regarde, le sourire aux lèvres, son jeune frère Jan tourner en rond comme un fauve en cage.
« Calmez-vous donc ! L’astrologue n’a-t-il pas dit que tout se passerait bien ? N’a-t-il pas dit que vous auriez un fils ? Un fils dont le nom retentirait jusqu’en Orient ? Je me demande ce qu’il entend par là ? »
« Cet astrologue n’est qu’un vieux hibou et je me défie de lui comme de la peste ! »
Hugo sourit à nouveau ; il sait combien son cadet et le vieux sage se détestent mutuellement. Le prince de Mosselbergen tend les mains vers le feu vigoureux qui, pourtant, semble faire de la figuration tant la nuit est glacée.
« Holà, s’écrie-t-il, du bois, encore du bois ! Laisserez-vous votre souverain mourir de froid ? »
Aussitôt deux serviteurs accourent, les bras chargés de bûches. Satisfait, Hugo regarde encore son frère : « Vous reconnaîtrez cependant que le vieux hibou, comme vous dites, nous a bien annoncé que votre fils viendrait au monde par une froide nuit de pleine lune, au chant des loups. »
« Certes, le froid et les loups sont au rendez-vous… Mais m’apportent-ils bien un fils ? Dieu seul le sait ! »
« Allons, vous n’aimez pas notre astrologue et donc… »
Les mots lui restent dans la gorge, car l’entrée de Mathilda le laisse sans voix. L’énorme femme s’est précipitée vers eux comme une furie, puis essuyant sa face rougeaude avec son tablier, la sage-femme cherche à retrouver son souffle. Le sourire qui coupe en deux son visage bouffi devient grimace dans la douleur des poumons en feu. Sa gorge fait un bruit de soufflet de forge, tant sa respiration est hachée et saccadée. Enfin, entre trois expires rauques et deux inspires sifflants, elle trouve la force de jeter comme dans un cri de joie : « Un fils, Monseigneur, c’est un fils ! »
Jan explose d’allégresse : « Pour une fois le vieux hibou a vu juste ! Vous avez entendu mon frère ? C’est un fils. » Et, tel un fou, il quitte la pièce en courant.
« Le voilà soudain bien excité, dit le prince, à croire que c’est son premier enfant. »
« C’est son premier fils, mon maître ! » répond Mathilda qui petit à petit retrouve son calme.
Hugo ne dit rien. Il se dirige vers la plus grande des fenêtres et son regard se perd dans la nuit polaire qui frappe le pays tandis que, pour fêter l’événement, les loups hurlent de plus belle. « Voici une naissance dont on parlera encore dans bien des années ! Il fait froid, plus froid qu’aux pires journées de février, et ces loups ne cessent de chanter leurs lugubres complaintes. Par Dieu oui, nous nous souviendrons longtemps de la naissance de Berthylémus de Mosselburg ! » Il fait face à la salle et voit qu’il est seul, Mathilda s’en est allée. Le prince frissonne sous ses épaisses fourrures et crie : « Holà, du bois ! Encore du bois ! On gèle ici. »
Ric
____________________________________________________________________________________________________________________________
Ric le Gaumais- Tête connue
- Messages : 1249
Date d'inscription : 07/08/2019
Age : 72
Localisation : La Gaume (Lorraine belge)
Re: Un premier fils
Merci RIC
J'ai adoré lire ce texte C'est bien écrit avec des mots simples qui soulignent la véracité des propos
Je me suis attaché surtout à en respecter le sens et l’esprit tout en utilisant les mots du vocabulaire d’aujourd’hui.
C'est du très bon travail RIC Accepte les compliments sincères d'un modeste lettré
tel que moi
J'ai adoré lire ce texte C'est bien écrit avec des mots simples qui soulignent la véracité des propos
Je me suis attaché surtout à en respecter le sens et l’esprit tout en utilisant les mots du vocabulaire d’aujourd’hui.
C'est du très bon travail RIC Accepte les compliments sincères d'un modeste lettré
tel que moi
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C'est
parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son, que tant de
gens paraissent brillants avant d'avoir l'air cons !
loulou- Villageois
- Messages : 800
Date d'inscription : 31/12/2019
Age : 75
Localisation : normandie
Re: Un premier fils
Je me suis attaché surtout à en respecter le sens et l’esprit tout en utilisant les mots du vocabulaire d’aujourd’hui.
Cela aussi c'est de la fiction cher Loulou, la Principauté de Mosselbergen
est une invention de l'abominable Ric, le conteur de l'histoire, pour donner
un semblant de véracité au texte !
Cette courte histoire est extraite d'une autre beaucoup plus longue dans
la quelle un seigneur Batave, Jan de Deuvel (Jean le Diable) qui avait enlevé
Matilda, la femme de son suzerain avait fuit celui-ci en emmenant les habitants
de son fief dans une fuite folle à travers l'Europe,poursuivi par le cocu et son armée.
Ils arrivèrent aux limites des mondes germanique et slave et se réfugièrent
dans une chaîne de collines escarpées, attendirent leurs poursuivants et les taillèrent
en pièce avant que de décider de s'installer à demeure dans ces collines et de
s'apercevoir qu'elles étaient composée de 50% de moules fossilisées. Ils nommèrent
donc leur nouvelle patrie Mosselbergen (les montagnes de moules) et leur capitale
fut construite sur la plus grande des collines, petite ville et son château entourés
de murailles qu'ils baptisèrent Mosselburg ! (la ville des moules)
Dans "un premier fils", le Prince Hugo le troisième est l'arrière petit fils de Jan de Deuvel
et de la noble Dame Matilda, Jan ayant proclamé son fils Hugo, premier prince de Mosselbergen.
Bien sûr tout ce petit monde ne parlait et n'écrivait que le néerlandais ancien ! D'ou mon prétendu
travail de traduction pour "un premier fils".
Bien amicalement
Ric
____________________________________________________________________________________________________________________________
Ric le Gaumais- Tête connue
- Messages : 1249
Date d'inscription : 07/08/2019
Age : 72
Localisation : La Gaume (Lorraine belge)
Re: Un premier fils
Une petite madeleine avant d'aller me coucher.Ric le Gaumais a écrit:C'est un petit texte que j'avais déjà proposé il y a quelque temps mais vu le peu
d'intérêt qu'il avait suscité je l'avais retiré pour le revoir un peu...
Traduit du néerlandais ancien, ce texte est extrait des chroniques de la principauté de Mosselbergen. Je me suis attaché surtout à en respecter le sens et l’esprit tout en utilisant les mots du vocabulaire d’aujourd’hui.
Un premier fils
Le onzième jour du quatrième mois de l’an de grâce 1075, le froid s’abattit sur Mosselburg comme l’aigle fond sur sa proie. Pourtant le matin même promettait le printemps qui s’annonçait radieux et chacun déjà en appréciait la douceur.
Vers la mi-journée, de sombres nuages vinrent déverser sur les collines plus de neige qu’en dix hivers. Il en tomba jusqu’à la fin du jour.
Alors le froid vint sceller le manteau blanc qui s’étalait sur toute la principauté. Le vent se réveilla pour bien vite devenir bise glacée et mordante. Il hurla dans les encoignures et chassa les nuages.
La nuit est venue : la lune pleine règne sans partage dans le ciel. Le froid devient palpable. Ruisseaux et rivières se couvrent de glace. Plus rien ne bouge, comme si neige et froidure avaient paralysé le pays. Mais… sont-ce vraiment les éléments qui font que tous restent dans les chaumières ? Ne serait-ce pas plutôt la peur ? Car voici que hurlent les loups dans les forêts toutes proches.
Personne ne bouge ! Personne ou presque…car la grosse Mathilda court, remuant sa graisse comme jamais, c’est à peine si ses pieds touchent le sol, elle vole dans le couloir qui la conduit vers ses maîtres.
Dans la grande salle du château, le prince Hugo, troisième du nom, seigneur des lieux, regarde, le sourire aux lèvres, son jeune frère Jan tourner en rond comme un fauve en cage.
« Calmez-vous donc ! L’astrologue n’a-t-il pas dit que tout se passerait bien ? N’a-t-il pas dit que vous auriez un fils ? Un fils dont le nom retentirait jusqu’en Orient ? Je me demande ce qu’il entend par là ? »
« Cet astrologue n’est qu’un vieux hibou et je me défie de lui comme de la peste ! »
Hugo sourit à nouveau ; il sait combien son cadet et le vieux sage se détestent mutuellement. Le prince de Mosselbergen tend les mains vers le feu vigoureux qui, pourtant, semble faire de la figuration tant la nuit est glacée.
« Holà, s’écrie-t-il, du bois, encore du bois ! Laisserez-vous votre souverain mourir de froid ? »
Aussitôt deux serviteurs accourent, les bras chargés de bûches. Satisfait, Hugo regarde encore son frère : « Vous reconnaîtrez cependant que le vieux hibou, comme vous dites, nous a bien annoncé que votre fils viendrait au monde par une froide nuit de pleine lune, au chant des loups. »
« Certes, le froid et les loups sont au rendez-vous… Mais m’apportent-ils bien un fils ? Dieu seul le sait ! »
« Allons, vous n’aimez pas notre astrologue et donc… »
Les mots lui restent dans la gorge, car l’entrée de Mathilda le laisse sans voix. L’énorme femme s’est précipitée vers eux comme une furie, puis essuyant sa face rougeaude avec son tablier, la sage-femme cherche à retrouver son souffle. Le sourire qui coupe en deux son visage bouffi devient grimace dans la douleur des poumons en feu. Sa gorge fait un bruit de soufflet de forge, tant sa respiration est hachée et saccadée. Enfin, entre trois expires rauques et deux inspires sifflants, elle trouve la force de jeter comme dans un cri de joie : « Un fils, Monseigneur, c’est un fils ! »
Jan explose d’allégresse : « Pour une fois le vieux hibou a vu juste ! Vous avez entendu mon frère ? C’est un fils. » Et, tel un fou, il quitte la pièce en courant.
« Le voilà soudain bien excité, dit le prince, à croire que c’est son premier enfant. »
« C’est son premier fils, mon maître ! » répond Mathilda qui petit à petit retrouve son calme.
Hugo ne dit rien. Il se dirige vers la plus grande des fenêtres et son regard se perd dans la nuit polaire qui frappe le pays tandis que, pour fêter l’événement, les loups hurlent de plus belle. « Voici une naissance dont on parlera encore dans bien des années ! Il fait froid, plus froid qu’aux pires journées de février, et ces loups ne cessent de chanter leurs lugubres complaintes. Par Dieu oui, nous nous souviendrons longtemps de la naissance de Berthylémus de Mosselburg ! » Il fait face à la salle et voit qu’il est seul, Mathilda s’en est allée. Le prince frissonne sous ses épaisses fourrures et crie : « Holà, du bois ! Encore du bois ! On gèle ici. »
Ric
Merci Ric
L'imagination, encore l'imagination, toujours de l'imagination!
Serais-tu tombé de dans la marmite quand tu étais petit?
N'arrête pas. On se fait prendre.
Un 18 août près de la Méditerranée "Holà, du bois! Encore du bois! On gèle ici"
Je suis allé baisser la clim et j'ai failli mettre un gilet!
william1941- Poète, barde, troubadour...
- Messages : 6677
Date d'inscription : 03/04/2020
Age : 83
Localisation : Garrigue et méditerranée. studio à Paris
Re: Un premier fils
____________________________________________________________________________________________________________________________
Ric le Gaumais- Tête connue
- Messages : 1249
Date d'inscription : 07/08/2019
Age : 72
Localisation : La Gaume (Lorraine belge)
Re: Un premier fils
J'avais manqué ce texte. Mon passage au village est souvent très rapide, zappant d'un sujet à l'autre.
Heureusement quelques habitants comme toi, William et Jauffré nous proposent de s'assoir et d'écouter de belles histoires.
Merci Ric
Heureusement quelques habitants comme toi, William et Jauffré nous proposent de s'assoir et d'écouter de belles histoires.
Merci Ric
Brase d'Anjou- Vieux de la vieille
- Messages : 6006
Date d'inscription : 22/05/2020
Age : 59
Localisation : Campagne angevine à l'ouest d'Angers
Re: Un premier fils
TOUTE la joie est pour moi chers zamis, que serait l'humble
écriteur si personne ne prenait quelques plaisirs à lire sa modeste
prose ?
Un jour il me faudra vous parler de Jan de Deuvel (jean le Diable),
de la belle Matilda et du Comte Adulbert le cocu furieux ! Que son
orgueil immense conduit à la mort aux pieds des Mosselbergen.
____________________________________________________________________________________________________________________________
Ric le Gaumais- Tête connue
- Messages : 1249
Date d'inscription : 07/08/2019
Age : 72
Localisation : La Gaume (Lorraine belge)
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