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Le piège 19 L'illustration est de Brase d'Anjou
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Le piège 19 L'illustration est de Brase d'Anjou
william1941 Ven 2 Déc 2022 - 2:32
A dix-sept heures deux agents de police apportent plusieurs cartons qu’ils déposent dans le bureau du Patron.
Celui-ci se lève. Les ouvre un par un. Regarde les contenus.
Il retourne s’asseoir. Prend son téléphone.
La communication est brève.
Chapelier reste pensif un bref moment et appelle à nouveau.
Là encore, la communication est de courte durée.
Il sort de son bureau :
« Ecoutez-moi une minute.
On vient de m’apporter les objets récupérés sur les lieux par les enquêteurs et les effets personnels des victimes
J’ai pu réussir à obtenir que la DGSE m’envoie ceux qu’ils ont récupérés aux domiciles et n’avaient pas envoyés à Delabre.
Je ne suis pas sûr qu’ils aient tout mis, mais c’est toujours ça.
Cela vous permettra de corroborer certains aspects des rapports.
Lambert, Grindier, vous avancez ?
- On a commencé à revoir les rapports sous l’angle que vous nous avez indiqué, répond Grindier.
Mais il y a beaucoup de choses à assimiler et à rapprocher.
En plus certains rapports de l’équipe à Delabre font double emploi avec ceux de la DGSE.
- Vérifiez systématiquement qu’il n’y a pas des discordances, si minimes soient-elle.
Ça ouvrir des pistes.
- Patron, lance Lambert, il semble qu’il y ait des manques non seulement dans les documents de La DG mais aussi dans ceux de Delabre.
- Et alors ? Tu attendais quoi ?
Ils ne sont pas particulièrement attachés à ce que nous réussissions.
A vous de deviner ce qu’ils n’ont pas indiqué et de le trouver.
Je crois que nous pouvons arrêter pour ce soir.
On se retrouve demain pour examiner le contenu des cartons. »
Chapelier rentre dans son bureau.
Lambert le suit et depuis la porte lui demande :
« Comment avez-vous eu ce que la DGSE et Delabre ont récupéré,
- J’ai quelques amis qui me doivent quelques services.
Y compris à la grande DGSE. Et au gouvernement
Dis-moi : Est-ce qu’ils commencent à accrocher ?
- Je crois que oui.
Le coup de ‘’cherchez ce qui manque’’, ça leur a ouvert des perspectives.
- Bien.
Il faut absolument que d’ici jeudi prochain nous ayons des nouvelles pistes à creuser.
A demain Lambert. »
Et il va s’installer dans son fauteuil.
Il regarde son équipe ranger leurs bureaux.
Ils sortent par groupe de deux ou trois en discutant.
En passant près de la porte restée ouverte du bureau de Chapelier, ils lancent :
« Bonsoir Patron »
Grindier sort la dernière.
Chapelier lui fait signe.
« Ça va comme vous voulez ?
- Oui. Enfin je crois que l’affaire est bien lancée.
- Je vous ai vu discuter avec Pelletier.
Un problème ?
- Non patron.
Elle a été un peu déroutée par votre réponse à propos de la date.
Elle vous admire et elle craint que vous ne la croyiez pas à la hauteur.
- Si c’était le cas, elle ne serait pas là.
Vous pouvez le lui dire.
- Ce sera fait.
Patron, cette histoire de date…
-Grindier !
- Pardon. Bonsoir Patron. »
Chapelier esquisse un sourire.
Il ouvre le tiroir, sort tout le nécessaire et se prépare une pipe.
Il l’allume soigneusement.
Se penche en arrière contre le dossier de son fauteuil.
Après quelques instants, il se lève et saisit un carton qu’il pose sur son bureau.
Il se rasseoit. L’ouvre. Commence à en sortir le contenu.
La soirée sera longue.
Celui-ci se lève. Les ouvre un par un. Regarde les contenus.
Il retourne s’asseoir. Prend son téléphone.
La communication est brève.
Chapelier reste pensif un bref moment et appelle à nouveau.
Là encore, la communication est de courte durée.
Il sort de son bureau :
« Ecoutez-moi une minute.
On vient de m’apporter les objets récupérés sur les lieux par les enquêteurs et les effets personnels des victimes
J’ai pu réussir à obtenir que la DGSE m’envoie ceux qu’ils ont récupérés aux domiciles et n’avaient pas envoyés à Delabre.
Je ne suis pas sûr qu’ils aient tout mis, mais c’est toujours ça.
Cela vous permettra de corroborer certains aspects des rapports.
Lambert, Grindier, vous avancez ?
- On a commencé à revoir les rapports sous l’angle que vous nous avez indiqué, répond Grindier.
Mais il y a beaucoup de choses à assimiler et à rapprocher.
En plus certains rapports de l’équipe à Delabre font double emploi avec ceux de la DGSE.
- Vérifiez systématiquement qu’il n’y a pas des discordances, si minimes soient-elle.
Ça ouvrir des pistes.
- Patron, lance Lambert, il semble qu’il y ait des manques non seulement dans les documents de La DG mais aussi dans ceux de Delabre.
- Et alors ? Tu attendais quoi ?
Ils ne sont pas particulièrement attachés à ce que nous réussissions.
A vous de deviner ce qu’ils n’ont pas indiqué et de le trouver.
Je crois que nous pouvons arrêter pour ce soir.
On se retrouve demain pour examiner le contenu des cartons. »
Chapelier rentre dans son bureau.
Lambert le suit et depuis la porte lui demande :
« Comment avez-vous eu ce que la DGSE et Delabre ont récupéré,
- J’ai quelques amis qui me doivent quelques services.
Y compris à la grande DGSE. Et au gouvernement
Dis-moi : Est-ce qu’ils commencent à accrocher ?
- Je crois que oui.
Le coup de ‘’cherchez ce qui manque’’, ça leur a ouvert des perspectives.
- Bien.
Il faut absolument que d’ici jeudi prochain nous ayons des nouvelles pistes à creuser.
A demain Lambert. »
Et il va s’installer dans son fauteuil.
Il regarde son équipe ranger leurs bureaux.
Ils sortent par groupe de deux ou trois en discutant.
En passant près de la porte restée ouverte du bureau de Chapelier, ils lancent :
« Bonsoir Patron »
Grindier sort la dernière.
Chapelier lui fait signe.
« Ça va comme vous voulez ?
- Oui. Enfin je crois que l’affaire est bien lancée.
- Je vous ai vu discuter avec Pelletier.
Un problème ?
- Non patron.
Elle a été un peu déroutée par votre réponse à propos de la date.
Elle vous admire et elle craint que vous ne la croyiez pas à la hauteur.
- Si c’était le cas, elle ne serait pas là.
Vous pouvez le lui dire.
- Ce sera fait.
Patron, cette histoire de date…
-Grindier !
- Pardon. Bonsoir Patron. »
Chapelier esquisse un sourire.
Il ouvre le tiroir, sort tout le nécessaire et se prépare une pipe.
Il l’allume soigneusement.
Se penche en arrière contre le dossier de son fauteuil.
Après quelques instants, il se lève et saisit un carton qu’il pose sur son bureau.
Il se rasseoit. L’ouvre. Commence à en sortir le contenu.
La soirée sera longue.
Dernière édition par william1941 le Ven 2 Déc 2022 - 15:11, édité 1 fois
william1941- Poète, barde, troubadour...
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Localisation : Garrigue et méditerranée. studio à Paris
Re: Le piège 19 L'illustration est de Brase d'Anjou
Brase d'Anjou Ven 2 Déc 2022 - 14:59
"Grindier sort la dernière.
Chapelier lui fait signe.
« Ça va comme vous voulez ?"
J'avais juste envie que Grindier soit une très jolie fille.
J'espère que tu es d'accord William
Chapelier lui fait signe.
« Ça va comme vous voulez ?"
J'avais juste envie que Grindier soit une très jolie fille.
J'espère que tu es d'accord William
Brase d'Anjou- Vieux de la vieille
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Re: Le piège 19 L'illustration est de Brase d'Anjou
william1941 Ven 2 Déc 2022 - 15:09
Aucune raison pour qu'elle soit moche et bête.Brase d'Anjou a écrit:"Grindier sort la dernière.
Chapelier lui fait signe.
« Ça va comme vous voulez ?"
J'avais juste envie que Grindier soit une très jolie fille.
J'espère que tu es d'accord William
Peut-être un peu jeune pour un grade d'inspecteur principal.
Mais elle est peut-être un peu plus âgée qu'elle ne le paraît.
Merci Brase pour la belle fliquette.
william1941- Poète, barde, troubadour...
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