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Le piège 59 L'illustration est de Brase d'Anjou
2 participants
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Le piège 59 L'illustration est de Brase d'Anjou
Interphone.
« Deux café s’il vous plait »
Ils ont rejoint le bureau de la Directrice – qui est à deux pas
Chapelier dit :
« Qu’est-ce que tu en penses ?
Qu’est-ce qu’ils vont mijoter ?
- Je ne sais pas vraiment
Tu as remarqué le coup d’œil vers son Dircab quand il a parlé de l’imbroglio… qu’il a quand même mis sur le dos de la DGSI.
- Il pouvait difficilement faire autrement.
Dans le cas contraire s’était avouer soit qu’il été au courant soit que son Dircab avait piloté toute l’affaire sans lui en parler.
Difficile à gérer devant nous.
- Bon, si on fait abstraction de toute la logorrhée qu’est-ce qu’il reste ?
- D’abord qu’il y a suspendu le match pour quarante-huit heures
Ce qui nous met devant une décision à prendre :
On arrête pendant deux jours ou on continue quand même ?
- Qu’en penses-tu ?
- D’abord que si cette réunion a eu lieu, c’est que nous devons approcher du nœud de l’histoire.
- Et donc ?
- Et donc nous devons décider en fonction de ce qu’il vient de se passer.
- Que veux-tu dire ?
- Avant d’aller plus loin, je suppose que tu as remarqué comme quoi que tu n’as pratiquement pas été mise en cause, ni par ce cher Pierre, ni par le Ministre.
Tactique pour dissimuler un coup de pied de l’âne, ou constat que tu ne peux pas être mise en cause et servir de fusible ?
Je parierais plutôt pour la deuxième hypothèse.
- Pourquoi ?
- Parce que, je ne vois pas ce qu’ils pourraient te reprocher.
Il leur reste le Procureur Général, mais là, on change de maison. Et il avait toute autorité pour te saisir ou te retirer une affaire.
- Donc la question est de savoir si le Ministre nous promène, si son Dircab le promène, ou si le caïd de la DGSI a promené tout le monde.
- Où si le ministre a été promené par le Dircab de connivence avec la DGSI
- En fait si le Ministre est au courant et ne veut pas que nous le sachions, cela vaut dire que c’est une affaire qui touche des politiques.
Si c’est le cas, je propose qu’on sorte du jeu le plus vite possible. Ça mord ces bêtes-là. Tu le sais comme moi.
- Je crois qu’il faut jouer le jeu du stand-by apparent.
On continue à travailler sur ce qu’on a mais on ne va pas plus loin. Sauf si on met le doigt sur un sucre d’orge.
J’ai d’ailleurs remarqué que le Ministre a demandé un rapport sous quarante-huit à la DGSI mais qu’il ne t’a pas demandé expressément d’arrêter l’enquête jusqu’à ce qu’il donne son accord.
- Enfin il a dit que si la DGSI veut notre concours elle devra nous le demander avec son accord.
- Oui, mais pour l’instant tu es saisie par le Procureur Général et je ne vois pas comment tu pourrais lui dire « Excusez-moi, Monsieur le Procureur Général, mais je sors du bureau du Ministre de l’Intérieur et, à sa demande, j’arrête l’enquête. J’imagine déjà ce qu’il se passerait quand il ferait remonter ça chez le fraîchement nommé Acquitator.
- Bien. On en reste là.
Tu continues ton enquête.
On va bien voir ce qu’il sortira de leur concertation.
Plus que jamais tu me tiens au courant de très près.
Je demande une voiture pour te ramener ?
- Non. Je vais marcher.
- Et tirer sur ta pipe, c’est ça ?
- Tu vois bien que je commence à être en manque. »
Dès qu’il est dans la rue il s’arrête.
Il prépare sa pipe, l’allume et commence à marcher en direction du 36.
Un coup d’œil à sa montre.
Il est déjà pratiquement cinq heures.
Il prend son cellulaire
« Lambert, je ne passerai pas à la brigade avant un bon moment.
Tu libères tout le monde pour ce soir.
A demain. »
Et il continue à marfléchir en direction de la PJ.
« Deux café s’il vous plait »
Ils ont rejoint le bureau de la Directrice – qui est à deux pas
Chapelier dit :
« Qu’est-ce que tu en penses ?
Qu’est-ce qu’ils vont mijoter ?
- Je ne sais pas vraiment
Tu as remarqué le coup d’œil vers son Dircab quand il a parlé de l’imbroglio… qu’il a quand même mis sur le dos de la DGSI.
- Il pouvait difficilement faire autrement.
Dans le cas contraire s’était avouer soit qu’il été au courant soit que son Dircab avait piloté toute l’affaire sans lui en parler.
Difficile à gérer devant nous.
- Bon, si on fait abstraction de toute la logorrhée qu’est-ce qu’il reste ?
- D’abord qu’il y a suspendu le match pour quarante-huit heures
Ce qui nous met devant une décision à prendre :
On arrête pendant deux jours ou on continue quand même ?
- Qu’en penses-tu ?
- D’abord que si cette réunion a eu lieu, c’est que nous devons approcher du nœud de l’histoire.
- Et donc ?
- Et donc nous devons décider en fonction de ce qu’il vient de se passer.
- Que veux-tu dire ?
- Avant d’aller plus loin, je suppose que tu as remarqué comme quoi que tu n’as pratiquement pas été mise en cause, ni par ce cher Pierre, ni par le Ministre.
Tactique pour dissimuler un coup de pied de l’âne, ou constat que tu ne peux pas être mise en cause et servir de fusible ?
Je parierais plutôt pour la deuxième hypothèse.
- Pourquoi ?
- Parce que, je ne vois pas ce qu’ils pourraient te reprocher.
Il leur reste le Procureur Général, mais là, on change de maison. Et il avait toute autorité pour te saisir ou te retirer une affaire.
- Donc la question est de savoir si le Ministre nous promène, si son Dircab le promène, ou si le caïd de la DGSI a promené tout le monde.
- Où si le ministre a été promené par le Dircab de connivence avec la DGSI
- En fait si le Ministre est au courant et ne veut pas que nous le sachions, cela vaut dire que c’est une affaire qui touche des politiques.
Si c’est le cas, je propose qu’on sorte du jeu le plus vite possible. Ça mord ces bêtes-là. Tu le sais comme moi.
- Je crois qu’il faut jouer le jeu du stand-by apparent.
On continue à travailler sur ce qu’on a mais on ne va pas plus loin. Sauf si on met le doigt sur un sucre d’orge.
J’ai d’ailleurs remarqué que le Ministre a demandé un rapport sous quarante-huit à la DGSI mais qu’il ne t’a pas demandé expressément d’arrêter l’enquête jusqu’à ce qu’il donne son accord.
- Enfin il a dit que si la DGSI veut notre concours elle devra nous le demander avec son accord.
- Oui, mais pour l’instant tu es saisie par le Procureur Général et je ne vois pas comment tu pourrais lui dire « Excusez-moi, Monsieur le Procureur Général, mais je sors du bureau du Ministre de l’Intérieur et, à sa demande, j’arrête l’enquête. J’imagine déjà ce qu’il se passerait quand il ferait remonter ça chez le fraîchement nommé Acquitator.
- Bien. On en reste là.
Tu continues ton enquête.
On va bien voir ce qu’il sortira de leur concertation.
Plus que jamais tu me tiens au courant de très près.
Je demande une voiture pour te ramener ?
- Non. Je vais marcher.
- Et tirer sur ta pipe, c’est ça ?
- Tu vois bien que je commence à être en manque. »
Dès qu’il est dans la rue il s’arrête.
Il prépare sa pipe, l’allume et commence à marcher en direction du 36.
Un coup d’œil à sa montre.
Il est déjà pratiquement cinq heures.
Il prend son cellulaire
« Lambert, je ne passerai pas à la brigade avant un bon moment.
Tu libères tout le monde pour ce soir.
A demain. »
Et il continue à marfléchir en direction de la PJ.
Dernière édition par william1941 le Dim 12 Fév 2023 - 0:57, édité 2 fois
william1941- Poète, barde, troubadour...
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Brase d'Anjou- Vieux de la vieille
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william1941- Poète, barde, troubadour...
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